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Justice

L’ACCUSÉ DU VIOL ET ASSASSINAT D’UNE FILETTE DE 9 ANS JETÉ EN PRISON

L’ACCUSÉ DU VIOL ET ASSASSINAT D’UNE FILETTE DE 9 ANS JETÉ EN PRISON
Anthony Makaga Koumba, accusé du viol et de l'assassinat de la jeune C.M., 9 ans, a été transféré à la prison centrale après sa comparution devant le juge d'instruction.

Anthony Makaga Koumba, accusé du viol et de l'assassinat de la jeune C.M., 9 ans, a été transféré à la prison centrale de Port-Gentil, chef-lieu de la province de l'Ogooué-Maritime, après sa comparution devant le juge d'instruction.  L'horreur s'est abattue sur le quartier Matiti du 4e arrondissement de Port-Gentil, où la fillette, envoyée par son oncle récupérer un tupperware chez l'accusé, a disparu sans laisser de trace avant d'être retrouvée morte.  L'interpellation de Makaga Koumba, 22 ans, a été violente, les habitants du quartier ayant pris la justice en main. Blessé au cours de cette intervention, il a été hospitalisé avant d'être présenté au juge.



Formallement inculpé pour "meurtre et viol sur mineure de moins de 15 ans", l'accusé reste en détention provisoire, en attente d'un procès qui pourrait prendre plusieurs mois.  La procédure judiciaire suit son cours, et l'instruction pourrait durer près de deux ans. 



Rappelons que le 13 novembre 2024, le paisible quartier de Matiti a plongé dans la désolation et la consternation. Une fillette de neuf ans, C.M., a été sauvagement violée et assassinée. Le principal suspect, Anthony Makaga Koumba, 22 ans, fils du compagnon de la mère de la victime, avait été interpellé.



L'horreur a éclaté lorsque la fillette, envoyée par son oncle récupérer un objet chez le suspect, n'est jamais revenue.  Des recherches ont conduit à une macabre découverte : le corps sans vie de C.M., dissimulé sous un canapé. L'enquête préliminaire avait  révélé un tableau effroyable, avec des traces de sperme et de matières fécales retrouvées sur le corps de la victime, selon une source proche de l'enquête.



L'horreur de cet acte a plongé le quartier dans un profond choc. 



« Comment un tel acte de barbarie a-t-il pu se produire ? »



s'était interrogé un habitant.  La relation de parenté entre le suspect et la victime a ajouté une dimension tragique au drame.  La population Port-Gentil et du Gabon en général avait exigé que justice soit faite.  





 

Par Pamphile EBO

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