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LIBREVILLE ET MAKOKOU BONS ÉLÈVES DE L'UNESCO

LIBREVILLE ET MAKOKOU BONS ÉLÈVES DE L'UNESCO
Le Gabon par les villes de Libreville et Makokou fait désormais parti des rejoignent aujourd’hui le Réseau mondial des villes apprenantes de l’UNESCO. Cette opportunité est donnée au Gabon afin d'aider les populations les plus défavorisées à s'insérer dans la société.

Au Gabon, ce sont les villes de Libreville et Makokou qui rejoignent maintenant le Réseau mondial des villes apprenantes de l’UNESCO.

Pour rejoindre le réseau,  l'objectif des municipalités doit être de permettre l’apprentissage tout au long de la vie et de devenir ville apprenante, avec à l'esprit des valeurs et des objectifs qui guident l'UNESCO dans la recherche du dialogue et de la coopération internationale.

Ce serait donc en reconnaissance de leurs efforts exceptionnels dans ce sens qu'elles ont été choisies.

 

L'apport d'un tel concept

 

Plus de la moitie   de l’humanité , ce qui représente 3,5 milliards de personnes vit dans des villes et le nombre estimé des personnes qui vivrons dans les zones urbaines d'ici à 2030 est de  5 milliards.

L'urbanisme des villes se change rapidement, ce qui constitue un défis pour les populations qui ont parfois du mal à trouver leurs repères, ce qui peut avoir des conséquences sur la qualité de l'éducation.

Les villes apprenantes permettent donc aux individus de tous âges et de tous milieux socio-économiques et culturels de bénéficier d’une éducation inclusive de qualité ainsi que d’opportunités d’apprentissage tout au long de la vie.

 

Quel impact sur le Gabon par Libreville et Makokou ?

 

Les villes apprenantes favorisent les environnements verts et sains, s'efforcent de parvenir à l'équité et à l'inclusion, et soutiennent le travail décent et l'esprit d'entreprise. Elles sont donc des moteurs essentiels de la durabilité au niveau local, tant dans les zones urbaines que rural.

Ce serait donc l'opportunité pour ses deux villes de se développer, surtout en ce qui concerne Makokou dont le développement se fait à pas de tortue.

En devenant villes apprenantes celles-ci pourrons, offrir des opportunités pédagogiques aux citoyens, surtout ceux qui ne suivent aucun parcours scolaire ou une formation afin qu'ils acquièrent des compétences intellectuelles, passant par la lecture et l'écriture non seulement pour les enfants que pour les adultes.

Proposer des cours en ligne à titre gratuit qui permettent à tous de suivre des cours sur une grande variété de sujets, notamment sur les questions communautaires ;

Offrir aux migrants la chance d'étudier et de travailler, leur permettant d'avoir des qualifications  professionnelles et de s’intégrer dans la société.

Créent des bibliothèques mobiles pour offrir des possibilités de lecture à tous, et particulièrement pour les personnes en situation de handicap, les seniors, et les enfants en âge préscolaire ;

utilisent les centres culturels comme des lieux d’apprentissage, qui combinent culture, art et apprentissage et organisent des projets collaboratifs entre les institutions pédagogiques et culturelles, afin de permettre à tous de découvrir leur patrimoine culturel et de promouvoir la tolérance interculturelle.

C'est donc tout un programme qui attend les deux villes gabonaises, programmes qui seraient bénéfique pour les populations et qui ferait parler du Gabon sur le plan mondiale.

Par ONGADZA Féline

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