Malgré le partenariat signé entre le ministère des affaires étrangères et l'ONG Space for Giants le 10 mai dernier à libreville afin de limiter le conflit homme éléphant qui a déja fait 12000 victimes au Gabon entre 2016 et 2020 les conséquences de ce conflit ne cessent de s'amplifier au Gabon.

Épuisés de voir leur plantations dévastées par les éléphants, les habitants du village eya magoula  sont contraints de quitter leurs village.

Selon les riverains, en dehors de leur guerre avec les éléphants, plusieurs problèmes accablent cette localité.

 

"Nous somme abandonnés à nous même, plus de routes, plus de plantations, l'école fermée et la structure sanitaire également";

 

Cependant,  l'accord signé prévoit entre le ministre et l'ONG permet notamment la mise en œuvre de la stratégie Nationales de coexistence entre homme et l'éléphant à travers un accompagnement technique et une formation dans la construction et la gestion de clôture électrique afin de protéger les population.

 

En décembre dernier, le ministère des Eaux et Forêts avait organisé, ‘’Les Assises nationales sur la gestion du Conflit Homme-Eléphant’’. Elle visait à arrêter de manière consensuelle et concertée la stratégie et le plan d’action national pour améliorer la sécurité alimentaire des populations tout en préservant la faune.Les conclusions issues de ces travaux devaient permettre ainsi de renforcer les mesures d’atténuation des conflits homme-éléphant. Il s’agissait notamment de la construction des clôtures électriques, l’indemnisation et la révision du décret sur les battues administratives.

Au Gabon, ces conflits ont généralement pour conséquences des agressions, blessures et pertes en vies humaines.

 

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