Les écrivains du Gabon se sont réunis en un ouvrage de 150 pages afin de s'adresser au président de la transition, initiateur du Dialogue National Inclusif.

Une idée qui leur est venue du fait qu'ils voulaient:

« pour marquer notre présence active sur le champ de la scène politique, parce que nous sommes d'abord des citoyens, des patriotes. »

a déclaré Jean-René Ovono,  coordonnateur de la publication.

L'ouvrage traite entre autre des thématiques telles que le changement climatique et des mentalités, la place de la jeunesse, les langues nationales.

L'écriture a sa place dans le Gabon 

Les cultures du monde connaissent la culture de l'écrit, elle permet d'avoir un regard différent sur une situation donnée, permet au passé de revivre afin de s'en servir comme fondation.

Cet ouvrage qui traite des sujets assez important pour la société gabonaise est un moyen d'interpeller les différentes générations sur le maux qui minent notre société et le monde.

Le cas des langues nationales est très importatant pour un pays qui veut écrire et apprendre sa propre histoire à sa progéniture et la valoriser, de façon à ce que tous se reconnaisent devant la patrie.

Ne dit-on pas que les Gabonais n'aiment pas lire?  Mais, de quel contenu parlons-nous ?

Cette tribune proposée par les écrivains gabonais au président de la Transition le Général Brice Clotaire Oligui Nguema est un moyen de marquer leur présence et leur engagement dans ce Dialogue National Inclusif (DNI).

Avec des propositions qui peuvent contribuer à faire bouger les choses dans ce pays en voie de reconstruction. Lesdites propositions faites restent en discussion en donnant une lueur d'espoir sur ce qui en sortira.

 

 

 

 

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