Le Gabon à l'instar du reste du monde commémore la Journée mondiale des infirmières. Avec pour thème cette année « nos infirmiers, notre avenir, le pouvoir économique de soins », l'objectif de cette journée était de montrer qu'elle est la meilleure prise en charge des soins infirmiers pouvant avoir un impact dans l'économie et la société. Plusieurs thématiques ont été abordées dont la formation des infirmiers.

Le comportement de certains doit être revu 

Le métier d'infirmier est un métier noble, qui demande patience, empathie, tolérance, adaptabilité, flexibilité et bien d'autres. Au Gabon le climat au sein de ce métier est tout autre dans les établissements publics, surtout pour ce qui concerne les femmes. Pour la plupart, elles manquent de courtoisie et d'éthique. Elles transportent leur humeur désagréable jusqu'à leurs lieux de travail et les déversent que les patients qui ne souhaitent qu'avoir une information. Une situation qui n'aide pas vraiment les patients. Ce sont souvent des air  de mépris qui sont lus sur les visages et ne font qu'à leur guise. Dans cette masse, il y a celles qui ont véritablement le souci de l'autre, qui comprennent que leur accueil peut déjà changer l'état d'esprit du patient. Malheureusement, il n'en existe pas beaucoup dans le pays. A côté des dames, il y a les hommes, qui sont plus à l'écoute et traitent les patients avec beaucoup de soins. Il leur arrive même de raconter des anecdotes dans le but de détendre l'atmosphère. Il est donc temps que nos infirmières soient plus impliquées afin de faciliter le passage des patients dans les structures où elles exercent.

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