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LA DISCRIMINATION DES PERSONNES VIVANTS AVEC LE VIH/SIDA LES TUE DE FAÇON PROGRESSIVE

LA DISCRIMINATION DES PERSONNES VIVANTS AVEC LE VIH/SIDA LES TUE DE FAÇON PROGRESSIVE
L'évolution de science a développée des traitements qui permettent aux personnes vivants avec le VIH/SIDA de vivre assez longtemps mais, il existe dans la société un autre fléau qui contribue à l mort progressive des ces malades. Il s'agit de la discrimination

Dans la société africaine et gabonaise, les personnes vivant avec le VIH sont souvent victimes de stigmatisation que ce soit au sein de la famille que dans le cadre professionnel. Pourtant selon les recherches, une personne séropositive sous traitement permanent ne transmet plus de virus. Malgré les campagnes de sensibilisation et les informations données sur les évolutions de la science sur cette maladie, beaucoup de monde continue soit par ignorance soit par refus de s'informer, de voir les porteurs de ce virus comme des personnes n'ayant plus aucun droit ou qui ne méritent plus de vivre parmi eux. Bien de fausses idées continuent de circuler et mettent en danger social et mental des malades.

La stigmatisation aggrave les cas de contamination 

Étant victime de discriminations, les malades infectés par le VIH vont de moins en moins vers les centres pour se faire suivre. Ils préfèrent rester isolés ou encore avoir recours aux traitements traditionnels avec des produits sans dosage dont ils ignorent les composantes. Des situations qui aggravent le taux de maladie dans les sang car, ne plus prendre son traitement clinique favorise la multiplication du virus dans l'organisme. La stigmatisation a donc des répercussions négatives sur un malade car cet agissement découle de l'ignorance de l'entourage sur la maladie. Sachant qu'elle fera l'objet de stigmatisation, une personne qui vient d'apprendre sa sérologie, peur se garder d'informer ses proches et continuer de distribuer le maladie car lui même ne peut l'assumer. Cette stigmatisation peur également être effective au niveau du personnel de santé dans certains pays de l'Afrique. Résultats, les décès vont se succéder car les personnes infectées ne pourront pas aller voir un médecin pour se mettre sous traitement ou, consulter un psychologue pour le rassurer et lui expliquer la conduite à tenir en étant malade. Pour tenter freiner cette discrimination, les campagnes de sensibilisation et d'information doivent s'intensifier et que les populations soient également réceptives aux explications des experts de la santé car, par la discrimination on peut se rendre responsable de mort de quelqu'un de façon indirecte.

Par Jeromiale ANGUE

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