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NOYADE D’UNE FILLETTE DE 4 ANS AU TSUNAMI: INTOX OU RÉALITÉ ?

NOYADE D’UNE FILLETTE DE 4 ANS AU TSUNAMI: INTOX OU RÉALITÉ ?
Interrogé par le groupe TV Plus Afrique au sujet de la fillette de 4 ans retrouvée morte au Tsunami, les responsables n’ont pas voulu apporter des précisions et demandent de se tourner vers leur avocat.

Depuis quelques jours, une information selon laquelle une fillette de 4 ans a été retrouvée morte dans l'une des piscines du Tsunami fait le tour des réseaux sociaux. Un incident qui a suscité  beaucoup de questionnements surtout du côté des journalistes de Tv Plus Afrique. Pour plus de lumière sur cette affaire, l'un des employés de la structure de loisirs a été interrogé par Tv Plus Afrique.  À la question de savoir ce qui s'est réellement passé ? L’un des responsables a répondu qu'il ne saurait répondre à cette question puisque l'affaire a été prise en charge par les autorités. Tout en précisant que la famille a reconnu les faits, l’un des responsables du Tsunami a ajouté que pour plus d'informations à ce sujet, nous devons nous rapprocher des enquêteurs en charge de l'affaire ou du tribunal. Face à ce manque d'explications, de nombreuses questions se posent toujours : La fillette est-elle vraiment morte noyée dans la structure ? Pourquoi les responsables du Tsunami ne peuvent pas raconter ce qui s'est réellement passé ? Que cachent-ils ? Y-a-t-il un secret derrière cette fillette de 4 ans ?

L’espace semble bien sécurisée

Sur les lieux, le responsable  interrogé a tout de même précisé que la structure est un endroit bien sécurisé. Selon ses dires, la sécurité est renforcée à tous les niveaux lors des ouvertures. Si tel est le cas, pourquoi les responsables refusent t-ils de nous donner leur version des faits et préfèrent nous orienter vers leur avocat ? Autant de questions qui laissent toujours les populations perplexes sans réponse. Une situation qui vient aussi montrer que les informations relayées  par des blogueurs des réseaux sociaux et de certains médias sont parfois erronées parce que certains responsables refusent de s’exprimer correctement.




 

Par Jeromiale ANGUE

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