En effet, le 11 juillet dernier le ministre camerounais des transports Jean Ernest Masséna Ngallè Bibéhè a présidé le lancement du programme officiel de la mobilité électrique. Durant cet évènement qui marque un tournant décisif pour le Cameroun, les stratégies et les actions nécessaires à mettre en place pour la viabilisation du projet ont pu être débattues par certains acteurs importants du secteur public, du privé et même internationaux. Plusieurs aspects sont passés au peigne fin, les plus importants étant les tests et l'homologation de ces véhicules roulant à l'électrique. Durant les discussions, l'aspect des normes qui doivent être respectées avant la mise en circulation de ces voitures n'a pas été oubliée. 
 
Nécessitant un entretien spécial, il a aussi été question d'aborder le sujet formation pour ce qui sera des mécaniciens qui auront la charge de s'occuper de ces voitures, mais aussi de l'installation des bornes de recharges pour alimenter les véhicules. Le Cameroun en voulant adopter la voiture électrique voudrait agir en faveur de la réduction de la pollution et promouvoir le développement durable, mais veut également par cette démarche renforcer, voire stimuler l'économie du pays. Pour que ce projet voit le jour, le Cameroun a fait appel au Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) afin de l'aider en ce qui concerne les ressources  techniques et financières.
 

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