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LIBREVILLE: LA RÉSIDENCE OYO TRANSFORMÉE EN PARC ANIMALIER

LIBREVILLE: LA RÉSIDENCE OYO TRANSFORMÉE EN PARC ANIMALIER
Le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) ouvre une nouvelle page dans l'histoire des Bongo avec la transformation de la résidence Oyo en parc animalier ouvert au public.

En effet, la décision vient du Président gabonais de la transition Brice Clotaire Oligui Nguema, de faire d'Oyo l'ancienne résidence d'Omar Bongo un parc touristique animalier. Abritant des animaux sauvages, il sera désormais possible pour les Gabonais de découvrir et de réaliser leurs rêves de voir certains animaux que renferme la faune gabonaise et des pays extérieurs au Gabon. Le parc devrait permettre de changer les habitudes, sinon la dynamique du secteur touristique avec la présence d'animaux sauvages de la savane et de la forêt qui risque d'attirer d'énormes foules pour admirer ces espèces.

Du projet de la construction d'un campus universitaire en un parc animalier

Cette résidence, qui a dans son enceinte les appartements d'Omar Bongo, renferme également des animaux sauvages parmi lesquels des lions, tigres, buffles, guépards, panthères, et même un puma, qui constituaient une attraction pour des amis et des invités de marque.
Après le décès le 8 juin 2009 d’Omar Bongo Ondimba, Ali Bongo Ondimba lui succède à la tête du pays et décide de céder la propriété au ministère de l’Enseignement supérieur pour la jeunesse gabonaise, avec des projets initiaux de construction d’un nouveau campus universitaire. Cette décision n'est pas mauvaise. Car le domaine touristique au Gabon est en train de vouloir prendre un essor considérable, alors il serait judicieux de continuer sur la lancée. Cette attraction peut aider à attirer des touristes du monde entier et participer fortement au développement local et économique du pays. 

Il faut retenir que le parc sera accessible sous présentation d'un ticket à retirer sur les lieux via WhatsApp et en appelant aux numéros qui seront communiqués ultérieurement.

 

Par Jeromiale ANGUE

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