La chose promise n'est pas une chose due à la SEEG. L’administration provisoire avait promis la fin des délestages le 11 octobre 2024. Manifestement, la SEEG a menti. Un mensonge grotesque que les populations n’avaient pas besoin d’avaler alors qu’elles payent un lourd tribut de ces coupures intempestives. Les quatiers entiers plongés dans le noir, les élèves qui n’arrivent plus à étudier leurs leçons, les PME qui ne tiennent pas à jour leurs prévisions, les appareils électroménagers qui tombent en panne, le retour des agressions dans certaines zones la nuit tombée.

La SEEG est face à ses vieux démons. Les médias vont désormais veiller sur ses déclarations pour vérifier si elles relèvent des fausses promesses. 

 

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