La dépigmentation de la peau est une pratique bien connue en Afrique noire qui s'observe également auprès des populations métissées d'Europe ou des Etats Unis. Cette pratique qui consiste à diminuer la pigmentation de la peau pour lui donne une teinte beaucoup plus proche de la peau blanche regorge de nombreuses conséquences sur la santé des individus. Elle renvoie alors à l'ensemble des procédés visant à obtenir un éclaircissement de la peau dans un but cosmétique.

Pratiquée aussi bien par les hommes que les femmes, la dépigmentation de la peau peut à la fois être cosmétique, artificielle ou encore volontaire.

 

 Les risques de la pratique

Cette dépigmentation cutanée présente des effets néfastes, comme des problèmes de peau. La dépigmentation de la peau entraîne des problèmes de la peau qui surviennent généralement lorsque les consommateurs de ces produits éclaircissants s'exposent à certaines températures. En effet, la dépigmentation de la peau fragilise cette dernière et expose les protagonistes à des éruptions cutanées, des allergies répétitives ou encore des coups de soleil qui conduisent généralement à des brûlures de la peau. Soulignons que la dépigmentation de la peau suscite une dépendance chez les adeptes qui se retrouvent dans un cercle vicieux qui conduit dans certains cas au pire.

Le pire est certainement le cancer de peau ou encore le mélanome qui est une pathologie qui prend le plus souvent naissance dans les cellules rondes appelées cellules basales qui sont présentes dans la couche supérieure de la peau c’est-à-dire l'épiderme. La dépigmentation de la peau engendre dans des rares cas des maladies cardiovasculaires. Ces maladies renvoient à ensemble de troubles affectant le cœur et les vaisseaux sanguins. La dépigmentation de la peau récurrente auprès de la race noire relève d'un certain complexe d'infériorité développé par les populations noires. Ce phénomène prend de l'ampleur au fil du temps face au racisme qui peine à être éradiqué dans la conscience de certains individus à la peau blanche.

La dépigmentation de la peau traduit en effet une forme de rejet et un besoin d'acceptation sociale.

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