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LE VANDALISME DES ÉLÈVES DANS LES TRANSPORTS PUBLICS EN QUESTION

LE  VANDALISME DES ÉLÈVES DANS LES TRANSPORTS PUBLICS EN QUESTION
À L'heure où l’opérationnalisation de la mise en service du transport scolaire gratuit se met en place , bon nombre d'observateurs interpellent l'opinion sur la nécessité de lutter contre les dérives passées pour une meilleure conservation voire préservation de ce bien public.

Le gouvernement gabonais  par l'entremise du président de la République Ali Bongo Ondimba dans son discours à la nation du 16 Août 2022 a annoncé la reprise du transport scolaire gratuit dans toute l'étendue du territoire national. Annonce qui a sonné comme un poids en moins dans la vie des populations  qui attendaient de voir depuis des efforts du gouvernement face à la vie chère .

A cet effet la société TransUrb effectuera le ramassage des élèves dans les différents lieux de ramassage  depuis différents établissements. Alors que le gouvernement met en place l’opérationnalisation de  ce nouveau service . Nouveau vraiment?

 

La notion du bien public à revaloriser

il serait bon de rappeler à cette tranche de la population les différents efforts que fait  le gouvernement face à certains agissements qui avaient par le passé entraîner l’arrêt de ce service. Actes de vandalisme, d’agressions sur le personnel , le phénomène des « cascadeurs ». Des élèves généralement cagoulés font des acrobaties sur les toits, les portières et les fenêtres des bus de la Sogatra lors du transport scolaire. Des comportements « déviants »encore visible  dans les différents bus de la société trans'urb avec la présence de TAGS dans les  coins et recoins des bus un sursaut républicain sur la notion de responsabilité et de préservation du bien public devraient être autant martelé que les inquiétudes sur la faisabilité de l'action .

Par MILEBOU IBINGA Marie Charlotte Nice

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