Les employés d’une entreprise se sont vus interpellés par une riveraine alors qu’ils jetaient des déchets de leurs chantiers de construction sur la plage de la Sablière, dans le nord de Libreville. Une réaction responsable car cette situation n’est autre qu’un cas d’incivisme qui peut porter préjudice à l’écosystème gabonais, mettant en péril la faune et la flore maritime.

Le domaine du tourisme pourrait être impacté négativement

Pour un pays comme le Gabon dont le tourisme essaie de repartir de l'avant, la pollution marine pourrait avoir un effet très néfaste pour ses projections. Le paysage gabonais dispose de plusieurs atouts qui peuvent faire du Gabon une destination touristique, parmi lesquelles les plages. L’un des projets prometteurs du tourisme gabonais qui envisage de mettre en place un circuit de croisière, dont le bateau prévu à cet effet a fait l’objet d’une visite le 11 avril dernier par le ministre en charge de ce département Pascal Ogowé Siffon. Devant ce projet de grande envergure, il serait souhaitable que les places et les eaux soient favorables non seulement à accueillir les passagers qui aimerait faire des excursions mais aussi que les navires naviguent en toute sécurité. Ajouter à ceci la bonne santé de la flore pour la reproduction d’espèces de poisson afin d’avoir un écosystème en parfaite santé. Les populations gabonaises sont donc invitées à plus de responsabilité aux abords des plages à faire preuve de responsabilité car l’économie d’un pays passe également par la mer. Si celle-ci ne répond pas aux normes environnemental l’économie du pays peut connaitre d’énormes difficultés.

 

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