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MALGRÉ UNE FORTE PRÉSENCE DES FORCES DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ À LIBREVILLE, LE BRAQUAGE CONTINUE.

MALGRÉ UNE FORTE PRÉSENCE DES FORCES DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ À LIBREVILLE, LE BRAQUAGE CONTINUE.
Depuis plusieurs années, des recrutements massifs ont été enregistrés dans les forces de sécurité et de défense, mais le phénomène de braquage continue.

Depuis plusieurs années le Gabon éprouve une considération exceptionnelle pour les métiers des armes. Ainsi plusieurs recrutements ont été faits dans les forces de défense et de sécurité avec pour missions : garantir l'intégrité du territoire national, défendre les intérêts vitaux de la Nation, protéger les institutions de la République, assurer le maintien et le rétablissement de l'ordre public, sauvegarder la vie des populations et de l'environnement , concourir au respect des engagements extérieurs du Gabon.


Si les autres missions sont exécutées, celle liée à la sauvegarde et protection des vies des Gabonais connait encore beaucoup de difficultés malgré un nombre élevé de soldats au Gabon.


Dans plusieurs quartiers de Libreville, les gens continuent à vivre avec la peur. Une vague d'aggression terrorise la population.Akébé, Belle-vue, Kinguele, Awendjé,Plein-ciel, Soduco, Nzeng-Ayong, la quiétude n'est pas au rendez-vous, pire si l'on est resté loin de notre domicile à une heure tardive. Vols, agressions, meurtres… Malgré les efforts des forces de sécurité, les malfaiteurs rivalisent d’ingéniosité pour semer le chaos. 


Mais cette série d’arrestations ne suffit pas à rassurer les habitants de Bertoua. Car le gang démantelé n’est que la partie émergée de l’iceberg. Comme une hydre à plusieurs têtes, dès qu’un groupe de malfaiteurs est neutralisé, d’autres prennent le relais, toujours plus déterminés et inventifs dans leur cruauté.



Face à cette situation alarmante, les forces de sécurité de la région, doivent renforcer leur présence dans les quartiers inquiétants, ils ne doivent pas que s'intéresser aux taximen et autres chauffeurs de voiture. Il y a urgence à travailler efficacement pour endiguer cette criminalité galopante. Meme si leurs efforts paient, avec des résultats de plus en plus probants. Mais le chemin est encore long pour ramener la quiétude dans les rues de Libreville.


Au cœur de cette tourmente, et surtout la nuit, il y a les chauffeurs de taxi qui paient le plus lourd tribut. Chaque jour, ils prennent d’immenses risques en sillonnant la ville pour gagner leur pain. Chaque client est une source d’angoisse potentielle. Chaque course, un pari avec le danger.


 


Il est urgent d’agir, avant que certains quartiers ne deviennent des zones de non-droit, où même. Les habitants attendent des actes forts. Pour que la peur change enfin de camp.

Par RARA

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