Dans une déclaration commune de Sylvia  et Nourredin Bongo Ondimba Valentin l'ex première Dame du Gabon qui se présente aujourd'hui comme une prisonnière politique dresse le bilan de vingt (20) mois de détention dans les géôles du pays. De la veille du coup de Libération du Gabon à leur exil vers Londre , Sylvia Bongo Ondimba Valentin et son fils déclarent avoir subi des violences inouies et posséder des preuves accablantes de leur prise d'otage arbitraire, de la violation constante de leurs droits fondamentaux et la fabrication de preuves à des fins de diffamation, et de condamnation par l'opinion publique et pour finir , les mensonges sans fin  des autorités politiques et judiciaires. 

Dans cette déclaration commune il ressort que contrairement aux propos prononcés par les autorutés gabonaises, la libération de Sylvia et son fils, Nourredin Bongo Ondimba Valentin releverait  plus d'une pression de la communauté internationale que des raisons de santé . 

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Un vent froid sur les autorités de la 5e République? 

 

 

Dans cette déclaration l'ambition de Sylvia Bongo et cie est clair :

" Nous ne nous tairons pas contre la terreur et l'injustice "

Considérant la volonté des autorités de la 5e république d'intenter à leur endroit un procès équitable , Sylvia Bongo qualifie de faux procès visant la légitimation de la saisie de leur biens . Elle indique avoir cumuler des preuvres sous forme d'audios et de  vidéos irréfutables pour se défendre , preuves qu'elle entend remettre à la justice française . 

Au Gabon , cette déclaration a été reçue comme un non évènement au sein de la population qui estime avoir été libéré d'un pouvoir opaque vieux de près de 60 ans et résolu à  construireun Gabon nouveau ,  avec une adhésion sans faille  à l'essor vers la félicité promis par le Chef de l'État Brice Clotaire Oligui Nguéma . 

 

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