Etudiants, élèves ou sans emplois, la plupart issus de milieu défavorisés avaient pensé trouver dans le commerce de vêtements de seconde mains le moyen de sortir de la précarité. Or voilà, Bon nombre d’entre eux sont récemment tombés dans les filets d’importateurs peu recommandables à la limite de l’exploitation de l’homme par l’homme. Interdiction du droit de s’exprimer, des heures de travail interminables, souvent sans manger, et des fausses accusations visant à déstabiliser les jeunes appelés pour le service, Skateurs.

 

Skatter, le premier métier des vendeurs d’habits de seconde main

 

Le skatter, l’attaquant, est ce jeune homme comme femme quoique la gent féminine soit très rare chargé d’interpeller les clients, en chanson ou par interpellation directe au marché mont Bouet. Le skatter a aussi comme mission de divertir les clients pour pouvoir conclure une vente. Ce dernier est payé à près de six mille francs la journée. Après le métier de skatter si le jeune parviens à économiser assez d’argent il peut devenir au bout deux années exportateurs de ballots . Toutefois, peu de ressortissants gabonais y arrive.

---