L'affaire de la petite Dina prend d'autres tournures, l'annonce faite par la police Turque dans un communiqué indique  l'arrestation de six personnes des turcs et des ressortissants étrangers en lien avec la mort de l'étudiante gabonaise .Une nouvelle qui vient contredire l’autopsie ayant conclu à une mort « par noyade », et à l’absence sur le corps de traces d’agression sexuelle ou de blessures par objet tranchant ou arme à feu.Selon certaines sources officielles, les policiers auraient retrouvés dans le téléphone de la jeune femme des preuves de harcèlement sexuel.

Une enquête est suivie de près

Après l'annonce des résultats de l'autopsie par les autorités Turques, les autorités gabonaises, ont contesté le rapport d'autopsie et ont exigé une contre expertise. Le Gabon a ainsi, demandé à son ambassadeur de suivre de très près cette enquete afin de mettre la lumière sur cette affaire et trouver les coupables. Quelques jours plus tard, les autorités Turque annoncent l'arrestation de six suspects dans le meutre de l'étudiante, une annonce qui insite à plusieurs questionements. Premièrement, pourquoi arreter des suspects sur une affaire de mort naturelle par noyade?

Que cache les autorités Turques sur le décès de la petite Dina?

Le rapport d'autopsie présenté par les autorités Turques était-il vrai?

Et enfin, pourquoi les arrestations se font elles après que le Gabon ai rejettté les conclusions du rapport de l'autopsie présenté par la Turquie? Autant de questions sans réponses. Il serait judicieux que le gouvernement gabonais, se penche serieusement sur cette affaire afin de découvrir ce que les autorités Turque ne disent pas.

En rappel, le corps de Jeannah Danys Dinabongho Ibouanga, 17 ans, avait été retrouvé le 25 mars dans une rivière de Karabük, une province du nord du pays où la jeune femme étudiait le génie mécanique. Le rapport d’autopsie avait conclu à une mort par noyade, conclusion très critiquée par les Gabonais et les Africains résidents en Turquie. 

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