Il  a présenté les difficultés de son administration à tenir ses engagements mais son travail titanesque qu’il abat et les possibilités de sortie à travers un nouveau modèle de fonctionnement qu’il est en train d’imposer à tous ses collaborateurs. Des collaborateurs qui ne digèrent pas la gestion parcimonieuse des finances qu’il impose. Le style dépensier de la précédente équipe dirigée par Marc Tchango, 

Le délégué spécial le général Pierre Rizogo Rousselot, a révélé que la municipalité de la capitale économique traîne une dette colossale de  6 milliards FCFA. Une dette met en difficulté la gestion efficiente de la collectivité locale.

Le délégué spécial le général Pierre Rizogo Rousselot a affirmé que Port Gentil  est sale car la municipalité ne peut pas payer les entreprises, parce que la dette est goulot d’étranglement. Et au niveau investissement, la mairie ne peut  rien faire. La mairie centrale  de Port Gentil  est obligée de prendre des mesures particulières pour que la structure ne s’effondre pas. La municipalité de la capitale économique est au bord du gouffre. Mais le général est un homme de défis. Il veut renverser la situation. 

 

Pour donner une marge de manœuvre à la municipalité, le général Pierre Rizogo Rousselot, a réduit les mirobolantes primes jugées fantaisistes que l’ancienne équipe de la municipalité accordait grassement à certains responsables.

Les primes mirobolantes 

Le délégué spécial s’est demandé, sur quelle base des primes à de si hauts montants  ont-elles été données. L’ancienne équipe a foulé aux pieds la grille de salaire qui est pourtant claire.  Selon lui, il y a eu beaucoup de copinage dans l’attribution de ces primes mirobolantes.

La mesure dite

« d’abattement de prime de sujétion »

touche cinquante cadres.  Il s’agit notamment des inspecteurs généraux adjoints, des conseillers du secrétaire général, des chefs de service, des chefs de section et des chefs de section adjoints ont vu leur prime réduite. Le général s’est gardé de citer les noms des cadres municipaux quoi ont touché ces primes. 

La mauvaise gestion de l’équipe sortante dirigée par l’ancien Maire Gabriel Tchango empêche aujourd’hui de se débarrasser des ordures ménagères. Même le curage des canalisations demande de l’argent.

 

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