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L'OIT MEILLEUR ALLIER DU GABON POUR AMÉLIORER L'EMPLOYABILITÉ DES JEUNES

L'OIT MEILLEUR ALLIER DU GABON POUR AMÉLIORER L'EMPLOYABILITÉ DES JEUNES
Les hautes autorités de la transition mènent une lutte pour l'employabilité des jeunes. C'est dans cette optique que le Directeur de l'OIT a décidé de soutenir le Gabon dans cette lutte.

La lutte contre le chômage est une préoccupation majeure pour le Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema et pour le Gouvernement de la transition. C'est donc pour aider le Gabon à faire face à cette situation que le Togolais Gilbert Houngbo, le directeur général de  l’Organisation internationale du Travail (OIT),  l'unique agence tripartite de l'ONU qui réunit des représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs d’environ 187 Etats-membres en vue d’établir des normes internationales, d’élaborer des politiques et de concevoir des programmes axés sur la promotion du travail décent pour tous, a décidé d'apporter son expertise au Gabon en ce qui concerne l'employabilité des jeunes.

D'ailleurs à cette occasion, le directeur général de l'OIT a rencontré le numéro 1 gabonais  afin  de trouver des pistes de solutions qui permettront de porter à une échelle supérieure les opportunités d’emploi et de hisser la coopération entre les deux parties.

Une alliance pour le renforcement des compétences 

L'alliance du Gabon avec l'Organisation internationale du Travail pour améliorer l'employabilité des jeunes présente de nombreux avantages. Cela peut inclure le renforcement des compétences professionnelles des jeunes, l'augmentation des opportunités d'emploi, la promotion de conditions de travail décentes et la réduction du chômage des jeunes.

Une meilleure employabilité contribue à la croissance économique du pays en offrant aux jeunes des perspectives d'avenir plus stables et en favorisant le développement social et économique à long terme.

Rappelons que lors de cette rencontre, le Chef de l’État dont le vœu est d’améliorer les conditions de vie des compatriotes, a souhaité que la formation professionnelle à court et moyen terme soit accentuée dans les secteurs porteurs d’avenir.

Il est important de noter que le chômage touche aujourd’hui toutes les couches de la société gabonaise, et ce malgré une croissance soutenue depuis 2010. 

 

Par Jeromiale ANGUE

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